Mon nouveau bijou d'intérieur : un déshumidificateur !
On a craqué sur lui : il est petit et mignon, et il a une grande capacité, il n'est pas vorace en énergie ou en entretien, et il fait son travail à merveille ! Un déshumidificateur électrique... Bien sûr, nous avons essayé de nous contenter des déshumidificateur à saumure, tout simples et moins chers (là, il faut quand même faire vibrer d'horreur le compte en banque). Mais notre appartement étant en rez-de-chaussée, et le placard à vêtements de Tac donnant sur la colonne d'eau de l'immeuble, tu imagines les dégâts que cause l'humidité.
Alors, tu aères un maximum. mais il faut compter avec l'humidité ambiante qui grimpe, qui grimpe. Tu sèches avec le ventilateur les vêtements juste portés quelques heures, mais bon, à un moment donné, il faut s'y résoudre...
Ni une, ni deux, direction le déshumidificateur électrique (vendu par une entreprise sur Internet, qui vient te le livrer en deux temps, trois mouvements, avec force démonstration et appels téléphoniques pour vérifier que tout va bien). Qui a immédiatement diagnostiqué 29° dans notre chambre et 85% d'humidité... Et ce n'est pas encore la mousson, ahem, ahem...
Vue magnifique sur notre futon (qui tient très bien le coup, lui),
sur ma crème à pattes arrières et mon magnésium à faire des gros dodos...
Heureusement, les différentes pièces où se trouvent nos livres sont moins humides, ouf ! Toute la question est désormais : du déshumidificateur ou de la climatisation, il faudra choisir pendant la mousson. Le premier assèche mais chauffe la pièce (j'ai vérifié les températures avant-après), en consommant peu ; la seconde refroidit mais humidifie la pièce (j'ai vérifié l'hygrométrie avant-après, et non, il n'y a pas de faute d'orthographe) et consomme beaucoup.
Je crois que Corneille en parle dans une de ses pièces...