La France, tu la quittes... et elle te suit !!!

          Hier, dans un journal indien (The Indian Express) :

         Il faut dire que les Astérix et Obélix abondent en anglais dans les librairies... Je pense en acheter un pour comprendre sur quels ressorts repose désormais le comique de mots, principale caractéristique de l'humour de cette BD. Traduit et destiné aux Indiens, qu'est-ce que cela donne ?

         Hier, dans une revue indienne (Mumbai Time Out) :

         Un avis et une interview de Laurent Cantet sur son film Entre les murs, qui évoque surtout le succès "planétaire" du film et, en passant, le défi du cosmopolitisme des classes françaises. Bien sûr, cette pourtant bonne revue ne se prive surtout pas de faire une faute à chaque prénom ou nom français (sans aucun logique orthographique, d'ailleurs : la faute est différente à chaque fois...).

         Hier dans une autre revue indienne (Outlook) :

              Encore un Français qui m'attend, au détour d'un dossier concernant la montée du nationalisme hindou violent dans le sud de l'Inde (qui est tout sauf le pays de la coolitude, rappelons-le). Le rédacteur en chef de la revue L'Inde explique comment la diabolisation par la colonisation de l'hindouisme et de ses valeurs, conduit les nouvelles générations à la cigarette, l'alcool et la drogue. Et la marmote, elle met le chocolat et l'herbe qui fait rêver dans le papier... De là, il rappelle qu'il ne faut pas faire d'équivalence stricte entre les fondamentalismes hindou et musulman. Certes. Mais cela reste un tout petit peu du fondamentalisme, donc un danger pour les cerveaux et pour la sécurité de tous, quelque soient les préjugés positifs aveugles que l'on puisse avoir sur l'hindouisme...

              Précision : hier n'était pourtant pas la journée de la France, en Inde...

[Le rallye est fini, j'en parle dans ma vie de Moufette !]